Biographie
Cet homme au parcours, ma fois, fort ordinaire à tout de même vécue divers éléments qu'il vaut la peine d'être noté. Tout d'abord, il ne connait pas l'identité de ses parents. En fait il n'a aucun souvenir de son enfance, pour lui sa première vie -Car à certaine étape de sa vie, il considère qu'il repart à zéro, donc que débute une nouvelle vie- a commencé vers l'âge de 13 ans lorsqu'il s'est, si l'on veut, "éveillé". Encore ici, l'âge est approximatif, puisque le seul souvenir clair qu'il avait à son réveille était son prénom: Florian. Il était aussi étrange pour lui que pour les autres que le seul élément qu'il possédait était ce simple prénom, mais il s'y accrocha et s'y accrocherait jusqu'à la fin de sa vie. Puisqu'il s'agit de sa vie: de son identité. Et que personne ne pourrait le lui arracher quoi qu'il arrive, tant qu'il le garderait en mémoire.Première vie
Les meilleurs souvenirs sont ceux que l'on a oubliés.
...................................................................Alfred Capus
Florian, s'appelle-t-il donc, ouvrit les yeux, tel un nouveau-né, sur un nouveau monde qui lui était totalement inconnue. La première chose qu'il aperçut fut une lumière très vive. La première chose qu'il entendit fut d'abord un grincement suivi de gens qui parlaient très fort. La première chose qu'il ressentit, fut l'air s'infiltrer dans chaque alvéole pulmonaire, le froid glissant à la surface de peau lisse et douce, à découvert, puis la chaleur d'un contact humain sur son bras. Chaque instant et chaque seconde qui passaient étaient un nouvel apprentissage de ses sens, pourtant au fond de lui tout cela lui semblait bien familier et si loin. Quelque part au fond de lui, il savait qu'il n'était qu'en train de réapprendre ce qu'il n'avait qu'oublier pour un moment.
À peine venait-il de prendre conscience de son existence que des inconnues, beaucoup plus grand que lui, le poussaient vers son destin. On le promena de corridor en corridor puis de pièce en pièce jusqu'à ce que ses guides s'arrêtent devant une grande porte. Le contact de ses accompagnateurs disparut pour se remplacer par le poids d'un tissu déposé sur ses épaules. Trois bruits sourds résonnèrent à ses oreilles, puis sans que personne ne touche à rien, l'accès s'ouvrit devant lui. Tournant un regard interrogateur à la personne à sa droite, Florian senti une main le pousser dans le dos. Sous cet élan, le jeune garçon fit quelques pas dans la pièce avant de tomber à genoux. À cet instant, il put découvrir une autre sensation qu'il devait avoir oublier: La douleur. Sous le choc, il se pencha vers l'avant et par instinct recouvrir de ses mains l'endroit de sa souffrance.
"Et bien qu'avons-nous là?" Florian releva la tête pour voir d'où venait cette phrase. Devant lui un homme aux cheveux foncé était assis dans un fauteuil à le regarder d'un ai amusé et derrière celui-ci l'on pouvait distinguer, caché par un paravent, l'ombre d'une autre personne aux longs cheveux en train de remplir de la paperasse sur un bureau. Ne sachant quoi répondre à la question, il préféra garder le silence.
"Bon, faisons ça rapidement, j'ai encore du pain sur la planche. Quel est ton nom, petit?""F... Florian, monsieur." Ça s'était fait hésitant au début, il ne se rappellait de rien alors comment être sûr qu'il s'agissait belle et bien de son nom? Il leva les yeux avec un air inquiet vers l'homme qui hocha la tête d'un air satisfait avant de faire fit un signe de la main en direction du petit. Alors que Florian se demandait ce que cela signifiait, les deux accompagnateurs, eux, avait bien compris le signe. Brusquement il bascula vers l'avant, face contre terre, mais l'arrière train relevé. Encore une nouvelle sensation, quelque chose semblait vouloir se forcer en lui. Une chance, ce n'était pas quelque chose de bien gros, 1 demi-centimètre de rayon environ, mais c'était froid. Serrant les lèvres il émit simplement un petit gémissement en sentant la petite baguette métallique entrer doucement.
"Vierge"dit froidement une voix à l'arrière avant de retirer rapidement l'objet, arrachant au passage un petit cri de douleur au garçon.
"Il devrait faire l'affaire" Cette fois, c'était la voix derrière le paravent qui avait parlé d'un ton détaché, mais imposant. Alors que Florian reprenais sa position initiale à genoux, le personnage toujours assis sur sa chaise expliqua rapidement la situation au nouveau: Ils se trouvaient au motel: LOVE-INN. Ici il (L'homme sur la chaise) avait toute autorité et tous se devait de l'appeler
Père. Cet endroit était sa nouvelle demeure, sa nouvelle famille, son destin y était scellé et le petit devait se plier aux exigences de la maison.
Dépourvu de tout passé et sans aucun avenir, portant seulement un nom, Florian n'y voyait aucune objection et fut amené dans une nouvelle chambre avec d'autre garçon de son âge. Les jours, les semaines, puis les mois et, finalement, un an passèrent. Et depuis son tout premier jour, le garçon n'a jamais tenté de se rebellé ou même de contredire l'autorité de la maison. Il s'appliquait du mieux qu'il le pouvait et bien vite on le permit d'assister ses ainées. En tant qu'apprenti, il apprenait à bien se tenir: autant sa langue que sa posture. Florian compris bien vite qu'il n'était pas né pour réfléchir, mais pour obéir et faire plaisir. La seule chose qui devait importer était de toujours être en bonne disposition pour les clients et savoir rapporter pour sa famille, mais il n'en était pas encore rendu là. Il en était uniquement au stade de la compagnie et d'ailleurs il n'avait encore aucune idée, à ce stade-là, ce qu'était exactement le suivant.
Un jour, un des habitués du motel qui avait des vues sur les garçons en plus bas âge fit la demande d'avoir un des apprentis pour une nuit et bien sûr il était prêt à payer un bon montant pour avoir la chance de dépuceler l'un d'eux. Réputer pour être dur en affaire, le propriétaire de la boutique négocia jusqu'à ce que l'habitué garde durant un minimum deux mois le garçon comme client, car à leur âge il leur serait difficile de trouver d'autre client. L'entente conclu, l'on fit appeler la dizaine d'apprenti dont Florian faisait partie. La plupart des enfants abhorrait une posture docile, mais il fallait toujours un mouton noir dans le lot: le troisième garçon à la gauche de Florian se trouvait être un jeune homme têtu. Il faut dire qu'il n'était arrivé ici il y a moins d'un an, car sa famille l'y avait vendue, préférant qu'il soit sous le contrôle d'humains que de Blondies. Ce garçon aux airs de défi eu tôt fait d'attirer l'attention du client.
"Celui-ci... fais-le moi voir d'un peu plus près" À ses mots, des hommes en uniforme firent avancer le petit rebelle aux devant des lignes, qui bien entendu essayait de résister pour retourner avec les autres dans la ligne.
"Ouai, il me-" "NON!" Coupa Florian d'une impulsion. Il ne savait pas -et ne sait toujours pas- ce qui lui a pris de faire une telle chose. Il était certainement le garçon le plus doux et le plus docile de la place, alors pourquoi être intervenue ce jour-là? Mystère, reste qu'il s'agit d'une des deux seules fois dans sa vie où il osa poser concrètement une action sur une impulsion et conviction aussi forte.
"Je... Non: prenez-moi à la place... Je parais un peu plus jeune que lui et je vous promets de tout faire pour vous satisfaire..."Intéresser par les paroles, de celui qui avait élevé la voix, ainsi que par le courage dont il avait fait pour intervenir, l'habituer posa un regard amusé sur lui. Il l'évalua un instant avant de hocher la tête d'un air satisfait avant de crier haut et fort: qu'on lui prépare la chambre. Florian n'avait aucune idée de la porter de ses mots ni des heures qui allaient venir. Seul entre quatre murs avec un inconnu pour la première fois, c'est un peu douloureusement qu'il apprit ce qu'était vraiment les enfants de cette maison. La tâche que tous devait accomplir, sans broncher, pour faire tourner l'économie et s'assurait à tous un repas ainsi qu'un toit pour dormir. Sa première nuit se partagea entre sanglot, douleur et ce qu'il pouvait associer à du plaisir.
Près a tout pour satisfaire, voilà qui définissait pour le mieux le rôle qu'il devait jouer. Il n'était qu'un instrument, mais ne s'en est jamais plein. Personne ne lui avait montré ce qu'il pouvait être d'autres alors pourquoi ne pas accepter ce qu'on lui donnait? Reste que cette nuit-là restera à tout jamais graver dans sa mémoire. La pénombre de la chambre les entourant, les sons de ses deux corps qui se frottent dans ses soupirs mêler aux sanglots, cet air qui pourtant si abondant ne réussisse pas à combler totalement ses poumons et cette sueur mêlée à cette trace de sang qui le brûle jusqu'à la chair, lui faisant perdre la raison jusqu'à ce que toute tension soit finalement relâchée. Voilà ce qui venait d'effacer ses tous premiers souvenirs pour les remplacer.
Après cette expérience Florian passa trois jours cloués au lit, incapable de faire deux pas sans s'effondrer. Voilà ce qu'aurait subi son confrère, s'il n'était pas intervenu. D'ailleurs le petit rebelle avait réussi à s'en fuir. T'en mieux pour lui, surement ?
Seconde vie
Je ne connais qu'un seul devoir, et c'est celui d'aimer.
...................................................................Camus (Albert)
À peine venait-il de s'habituer au nouveau tournant de sa première vie que son univers bascula de nouveau. En presque une demi-année, notre jeune Florian était passé du jeune apprentie timide au joli hôte toujours aussi timide et à la sensualité envoûtante, mais jusqu'ici il n'y avait rien de vraiment nouveau. L'élément qui vint marquer le début de cette nouvelle vie, fut son achat par un homme important.
Dans ça monté rapide, Florian avait gagné en prestige venant jusqu'à accoté un des vieux favoris du LOVE-INN. Les rumeurs allaient et venaient aussi rapidement que les nouveaux visiteurs attirer par ses jolis hommes. Une petite compétition s'était semblerait-il installer à l'interne de l'édifice, bien que Florian n'en semblait pas vraiment conscient, entre les courtisans. Le tout dura quelques mois avant de s'arrêter abruptement, par l'achat incongrus d'un blondi.
Toute cette agitation interne avait eu pour effet de capter l'attention des plus hauts dirigeant. L'on demanda donc aux deux plus prisés de bien vouloir s'occuper d'un client particulier. Il n'était pas rare qu'un client commande deux hommes pour son lit, mais personne n'avait encore eu assez d'argent pour pouvoir faire de même avec les deux premiers numéros de la maison. D'ailleurs personne ne vit se dit client. Lorsque Florian et son opposé entrèrent dans la chambre l'homme était caché derrière un paravent, demandant simplement aux deux hommes de s'amuser entre eux, sans venir le déranger. Florian avait très vite reconnu l'homme de ses souvenirs, celui-là même qui quelque année au par-avant se cachait derrière la même toile.
Ce ne fut que quelques jours plus tard, après cette étrange démonstration que Florian fut appelé à quitter le motel. Il avait été acheté par l'homme qui était simplement venu pour observer. Il allait alors débuter une nouvelle vie: celle d'un pet. Bien que le travail, soit essentiellement le même, les règle n'en restait pas moins différente. Ici, il n'y avait plus cette sécurité: ne pas être blessé, être pomponné comme il le souhaite (...), mais surtout la règle la plus dur était de ne pas toucher à son maître, qui était de première génération. Il n'avait pas de droit de satisfaire la personne qui l'avait acheté comme on lui avait montré, il ne devait s'accoupler qu'avec les autres hommes dans la même situation que lui.
Hellion Tokan, tel était le nom du Blondi qu'il avait aperçu autre fois et qui venait de l'acheter. Il faisait partie de la première génération, aimant regarder ses animaux s'exciter devant lui plutôt que de venir prendre part au débat. Il était un homme d'un grand caractère, mais Florian de nature soumise n'eut jamais de gros problème avec lui. Il eut certes à faire de nouvelles expériences goûtant à de nouveaux fétiches pour les bons goûts de son maître, mais jamais il n'avait dit non. Attisant au passage la curiosité de Hellion quant à la limite que le petit pouvait bien avoir.
Florian n'était pas le seul à devoir se plier à la forte imagination du maître. Il était accompagné de deux autres pets. L'un était déjà lors de son arrivé: Thalim, pet de luxe encore plus docile que le nouvel arrivant. À le voir agir, il ne semblait pas avoir de conscience humaine et n'être qu'un être de chair qui en réclame d'autre. Quant au troisième animal, il arriva environ 1 an après l'arrivée du grand brun: Kiram Asth. Une vraie tête forte, grognant et n'acceptant visiblement pas sa condition, a priori le maître voulait essayer quelque chose de nouveau. Mais la vraie surprise dans tout ça fut les retrouvailles entre ses eux hommes, qui s'était croisé une ou deux fois en tant qu'apprenti au motel LOVE-INN.
L'enfant pour lequel Florian s'était porté volontaire et qui avait par la suite disparue, était à nouveau là. Inchangé et à nouveau au prise avec ce destin d'esclave. L'esprit rebelle eu le droit à toute sorte de correct, n'améliorant pas son caractère bien au contraire et cela allait ensuite se refléter lorsque le trio devait se donner en spectacle. Toutefois, Florian n'eut jamais de blessure directement infligé par Kiram, qui au contraire semblait plutôt protecteur.
Une certaine complicité s'était installée entre ses deux pets. Kiram tentai d'éveiller le côté rebelle et fonceur de Florian, tandis que celui-ci paisible de son état calmé l'esprit bouillant de son compagnon. Avec le temps, la flamme destructrice finie par se calmer, prenant ses moments de spectacle pour apprécier le moment d'intimider qu'il pouvait passer avec Florian. Le jeune brun avait ainsi volé le coeur de Kiram, mais malheureusement le contraire n'était pas possible, car même à travers toutes ses humiliations et les coups du temps Florian s'était épris de son maître. La seule personne que ne l'ai jamais touché, cette personne qui restait là assise tranquillement à le percer de ses yeux froids. Mais il savait que tout cela était impossible, aussi fort pouvait-il y rêver ou y penser lorsqu'il ouvrait jambe cet homme ne bougerait pas. Il n'était personne, son rôle était de donner, mais malgré cela il ne pouvait s'empêcher d'aimer. Simplement que ce mot pour une première fois se rendait plus loin traversant la peau et la chair pour atteindre un organe encore plus précieux que les autres: le coeur.
Et voilà, un jour, une nouvelle vint chambouler l'univers de tous. Le favori de Jupiter était mort et avec ça quelque blondi avait découvert que l'amour entre eux et un humain était possible - ou du moins envisageable-, malgré les avertissements de leur mère. C'est environ dans les mêmes temps que Florian eu à nouveau un court instant de cran. Avec la nouvelle, un nouveau vent d'espoir lui était monté à la tête, s'imaginant que, peut-être, son amour secret pouvait lui être finalement retourné?
Revenant d'une soirée, qui s'était plus ou moins bien passé Florian pris son courage à deux mains, avant de l'échapper, puis se rendit dans la pièce où Hellion se trouvait. Il prétexta vouloir s'excuser des actes de Kiram durant le parti privé et juste avant que ses jambes ne flanchent pour faire demi-tour Florian s'exprima sur ses sentiments. Le pet resta consterner devant le simple hausse de sourcil qu'il avait eu en retour avec cet air éternellement froid et supérieur. Tout ce joua sur un coup de dés dans son esprit, au lieu de partir rouge comme un coquelicot, il se jeta aux genoux du blondi pour faire ce qu'il savait le mieux faire: donner du plaisir. Peut-être que s'il lui montrait ce qu'il voulait ou lui démontrait ses talents Hellion allait finalement réagir à ses sentiments?
Kiram arriva dans l'entre fait. Florian à genoux s'apprêtant à s'exécuter tandis que le blondie venait de glisser une main dans les longs cheveux de son pet amoureux. Le blondie n'eut même pas le temps de réagir pour repousser son pet, que Kiram l'avait lui-même retirer de là. Florian tenta bien évidemment de résister à la main qui était venue le retirer de son travail. Le tout ne fit qu'aggraver la rage de Kiram qui le relâcha donc pour le laisser ramper vers Hellion, qui n'avait pas vue l'intérêt de bouger de sa chaise, pour ensuite venir chercher une des lampes à l'huile fonctionnant et décorant l'appartement pour la lancer en direction du blondi. Florian se trouvant à mi-chemin entre les deux hommes, fit office de bouclier pour son maître. Par chance l'objet ne s'était pas brisé directement sur lui, mais une bonne partie de l'huile avait imbibé ses vêtements pour faire de lui une petite torche humaine.
Dernière vie
Les illusions tombent l'une après l'autre, comme les écorces d'un fruit,
et le fruit, c'est l'expérience. Sa saveur est amère..
...................................................................Nerval (Gérard Labrunie, dit Gérard de)
Florian se réveilla pour l'énième fois cette nuit-là. Il faisait sombre et son corps le faisait terriblement souffrir. Il aurait voulu pouvoir se jeter en bas de son lit ou même arracher les bandages que l'on lui avait appliqués, mais tenter d'ouvrir les yeux étaient déjà assez compliqué. à l'exception de cette douleur constante, il n'avait presque plus de sensation. Il n'aurait su dire depuis combien de jours ou semaines il était là. Le temps semblait s'écouler à un rythme étonnement lent. Ainsi prisonnier de son corps il eut le temps mille fois de repasser les derniers éléments de sa vie. Pour une première fois depuis des années il eut envie de pleurer, mais rien ne semblait vouloir sortir de ce corps dessécher.
Il passa plusieurs mois ainsi sans pouvoir communiquer avec l'extérieur, où il n'était qu'un spectateur. Quelque personne venait le voir, mais jamais bien longtemps et la plupart du temps s'était pour lui changer ses bandages. Puis peu de temps avant qu'il ne soit apte à se relever pour sa réadaptation il reçut la visite de son maître. Florian reconnu le reconnut plutôt par la voix, car sa vision ne se limitait plus qu'à quelque ombre et forme flou. Le jeune homme se mordit nerveusement les lèvres: il avait tant souhaité et craint ce moment.
"Alors?" S'éleva la voix du médecin, levant un point d'interrogation sur la tête de Florian. Alors qu'il se demandait ce qu'était là question il sentit le poids des couvertes se retirer. Hellion examina rapidement le nouveau corps de son pet avant de répondre gravement:
" Il n'a plus aucun intérêt, je ne veux plus le voir."Florian senti son coeur s'emballer. Il aurait voulu dire ou crier quelque chose pour le retenir, mais ses lèvres étaient restées close. L'on referma la porte derrière celui qui fut son maître et le médecin parti chercher son équipement de castration.
Il resta encore quelque mois à l'hôpital le temps d'apprendre à marcher à nouveau et de délier ses muscles, puis se vit confronter à une nouvelle vie. Il ne pouvait désormais plus remplir ses anciennes fonctions dû à son physique qui faisait fuir les gens. Hélas pour lui personne ne lui avait rien montré d'autre, tout lui avait toujours été offert en échange de ses services. Florian sachant très bien qu'il ne survivrait pas bien longtemps dans la cité basse avait décidé d'enfouir ses nouveaux traits sous plusieurs couches de tissu et de faire son tour au pet-show, à savoir si quelqu'un était prêt à le recycler comme meuble malgré ses quelques handicapes.
Un court résumé...
¦ Petite description rapide de votre personnage¦ ¦ Florian Synn¦ ▬ Est une commande spéciale de son premier maitre. Il a été enlever d'une autre planète, sans mémoire, puis élevé au LOVE-INN pour satisfaire les hommes avant de devenir pet. Suite a une histoire de jalousie et de déclaration d'amour, Florian fut brulé vif par accident, mais survécu de peine et de misère. Son maitre n'y trouvant plus d'utilité la fait castré et la laisser à lui-même.